Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur l’énergie libre

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur l’énergie dite « libre » Par Peter Lindemann, Docteur en Sciences

Le développement des technologies à base d’énergie libre a été entravé par les princes de l’argent, les gouvernements, des inventeurs mythomanes et des escrocs, ainsi qu’un public démotivé.

Etat actuel de la technologie.

Des technologies énergétiques spectaculaires se sont développées en même temps que se réalisaient d’autres percées. Depuis cette époque, de nombreuses méthodes de production d’énergie en grande quantité et à très bas prix ont été mises au point. Mais aucune de ces technologies n’a fait son chemin en tant qu’article commercialisable dans le marché de la consommation. Nous verrons plus loin la raison de cet échec.
Je voudrais tout d’abord vous lister les technologies « d’énergie libre » (T.E.L.) dont j’ai connaissance et dont la validité a été démontrée sans le moindre doute. Toutes ces découvertes ont en commun ceci : elles utilisent une faible quantité d’une sorte d’énergie pour contrôler ou libérer une grande quantité d’une autre énergie. Nombre d’entre elles puisent, d’une façon ou d’une autre, dans le champ éthérique ambiant, une source d’énergie que la science « moderne » feint, par opportunisme, d’ignorer.

1. Energie radiante
L’émetteur amplificateur de Nikola Tesla, l’appareil à énergie radiante de T. Henry Moray, le moteur EMA de Edwin Gray et la machine Testatika de Paul Baumann fonctionnent tous avec de l’énergie « radiante ». Cette forme naturelle d’énergie (appelée à tort « électricité statique ») peut être puisée directement dans l’environnement ou extraite de l’électricité ordinaire par la méthode dite de « fractionnement ». L’énergie radiante peut produire les mêmes merveilles que l’électricité ordinaire à moins de 1% du prix. Cependant elle ne se comporte pas exactement de la même manière que l’électricité et c’est en partie pour cette raison que la communauté scientifique ne l’a pas comprise.
En Suisse, la Communauté Methernitha possède aujourd’hui cinq ou six modèles de systèmes qui puisent cette énergie en fonctionnement autonome et sans combustible.

2. Les moteurs à aimants permanents
En Nouvelle Zélande, le Dr Robert Adams a mis au point des modèles étonnants de moteurs électriques, de générateurs et d’appareils de chauffage qui fonctionnent avec des aimants permanents. Un de ces appareils tire 100 watts d’électricité de la source, génère 100 watts pour recharger la source et produit plus de 35.280 calories en deux minutes !
Le Dr Thomas Bearden, aux USA, a construit deux modèles opérationnels d’un transformateur électrique fonctionnant à partir d’aimants permanents. Il utilise une alimentation de 6 watts pour contrôler le profil d’un champ magnétique émis par un aimant permanent. En canalisant le champ magnétique vers une première bobine de sortie, puis vers une deuxième, alternativement et rapidement comme dans un jeu de ping-pong, l’appareil produit une sortie électrique de 96 watts sans aucune pièce mobile. Bearden appelle ce système un MEG (Motionless Electromagnetic Generator = Générateur électromagnétique sans Mouvement). En France, Jean-Louis Naudin a reproduit l’appareil de Bearden. Les principes de ce genre de système ont été révélés pour la première fois aux USA par Frank Richardson en 1978.
Troy Reed, aux USA, a construit plusieurs exemplaires d’un ventilateur à aimants qui chauffe en tournant. Il suffit exactement de la même quantité d’énergie pour faire tourner le ventilateur, qu’il produise ou non de la chaleur.
Outre ces développements, de nombreux inventeurs ont conçu des mécanismes capables de fournir un couple moteur rien qu’à partir d’aimants permanents.

3. Appareils de chauffage mécaniques
Il existe deux types de machines qui transforment une petite quantité d’énergie mécanique en une grande quantité d’énergie calorifique. Les meilleurs de ces engins purement mécaniques sont ceux à cylindres rotatifs conçus par Frenette et Perkins, au USA. Dans ces machines, un cylindre est en rotation à l’intérieur d’un autre avec un jeu d’environ 3mm. L’espace interstitiel est rempli d’un liquide, de l’eau ou de l’huile, et c’est ce « liquide d’exploitation » qui chauffe lorsque tourne le cylindre intérieur.
Une autre méthode consiste à produire des courants tourbillonnaires à l’aide d’une roue en aluminium garnie d’aimants ; l’aluminium chauffe rapidement. Des démonstrations de ces chaufferettes magnétiques ont été faites par Muller, au Canada, Adams, en Nouvelle Zélande et Reed, au USA.
Tous ces systèmes peuvent produire dix fois plus de chaleur que les appareils standards consommant la même énergie à la source.

4. Electrolyse à haut rendement.
L’eau peut être réduite à de l’hydrogène et de l’oxygène avec de l’électricité. Les livres de chimie classiques prétendent que ce processus exige plus d’énergie que celle que l’on récupère en recombinant les gaz. Ceci n’est vrai que dans le pire des scénarios.
Dans un système développé par Stan Meyer, USA, et à nouveau récemment mis au point par la société Xogen Power, Inc, l’eau peut être réduite à ses composants avec très peu d’énergie électrique en la soumettant à un bombardement dans la fréquence propre de résonance de ses molécules. Et l’efficacité du processus est améliorée de façon spectaculaire en utilisant divers électrolytes (des additifs qui augmentent la conductivité de l’eau). On sait aussi que certaines structures géométriques et textures de surface fonctionnent mieux que d’autres. Ceci implique que des quantités illimitées d’hydrogène combustible peuvent être produites pour alimenter les moteurs, (dont celui de votre voiture), au prix de l’eau.
Et il y a bien plus étonnant : un certain alliage, breveté par Freedman, USA, en 1957, décompose l’eau en hydrogène et oxygène spontanément, sans apport extérieur d’énergie électrique et sans provoquer de modification chimique dans le métal lui-même. Autrement dit, cet alliage métallique particulier peut produire de l’hydrogène à partir de l’eau pour pas cher et pour toujours.

5. Moteurs à implosion/vortex
Tous les moteurs industriels (dont celui de votre voiture) utilisent la chaleur pour produire une dilatation, donc une pression, pour faire un travail. La nature utilise le processus opposé, le refroidissement, qui provoque l’aspiration et le vide, et donc produit un travail ; par exemple dans une tornade.
Viktor Schauberger, Autriche, a été le premier, dans les années 1930 et 40, à construire des modèles opérationnels de moteurs à implosion. Depuis lors, Callum Coats a largement décrit le travail de Schauberger dans son livre Living Energies (Energies vivantes) ; ensuite, un certain nombre de chercheurs ont construit des modèles de turbines à implosion qui fonctionnent. Ce sont des machines sans carburant qui produisent un travail mécanique avec l’énergie du vide. Il existe aussi des inventions beaucoup plus simples qui utilisent un mouvement de vortex pour capter une combinaison de force centrifuge et de gravité pour produire un mouvement continu dans des fluides.

6. Technologie de la fusion froide.
En mars 1989, deux chimistes, Martin Fleischmann et Stanley Pons, de l’Université Brigham Young, Utah, USA, annonçaient qu’ils avaient obtenu des réactions de fusion atomique dans un simple dispositif « de table ». L’annonce fut « démentie » dans les six mois et le public s’en désintéressa.
Et cependant, la fusion froide est bien réelle. Non seulement on a démontré une production de chaleur en excès, mais on a enregistré des transmutations atomiques à basse énergie, impliquant des dizaines de réactions différentes. Cette technologie peut, sans aucun doute, produire de l’énergie bon marché et quantité d’applications industrielles importantes.

7. Pompes à chaleur à assistance solaire.
Le réfrigérateur qui se trouve dans votre cuisine est la seule machine « à énergie libre » qui vous est familière. C’est une pompe à chaleur fonctionnant à l’électricité. Elle consomme une unité d’énergie (électrique) pour mettre en action trois unités d’énergie (chaleur). Ce qui lui donne un coéfficient de performance (CdP) de trois. Pour chaque unité d’énergie électrique qu’il consomme, votre réfrigérateur pompe trois unités d’énergie chaleur de l’intérieur vers l’extérieur. Cette utilisation est classique, mais c’est la plus mauvaise façon d’appliquer cette technologie. Voici pourquoi. Une pompe à chaleur tire la chaleur d’une « source » pour l’envoyer à « l’égout », c’est-à-dire vers un endroit qui absorbe cette chaleur. Pour que ce processus fonctionne le mieux possible, il faudrait que la « source » soit chaude et que « l’égout » soit froid. Dans votre réfrigérateur, c’est exactement le contraire. La « source » de chaleur est dans l’armoire, qui est froide, et « l’égout » d’évacuation est l’air ambiant de votre cuisine, qui est plus chaud que la « source ». c’est pourquoi le CdP de votre réfrigérateur est très bas. mais cela n’est pas le cas avec toutes les pompes à chaleur.

On atteint facilement des CdP de 8 pour 10 avec des pompes à chaleur à assistance solaire. Dans un tel système, une pompe extrait la chaleur d’un capteur solaire et l’emmagasine dans une grande masse absorbante souterraine qui se maintient à 12,78°C ; de l’énergie mécanique est obtenue en cours de transfert. Ce procédé est similaire à celui d’une machine à vapeur qui tire de l’énergie mécanique entre une chaudière et un condenseur, sauf que celui-là utilise un fluide qui « bout » à une température beaucoup plus basse que l’eau.
Un tel système, dans une machine de conception particulière essayée vers 1970, produisit 350CV mesurés au dynamomètre à partir d’un capteur solaire de 9,3m2. (Ceci n’est pas le système revendiqué par Denis Lee). La quantité d’énergie nécessaire à faire tourner le compresseur (consommation) était inférieure à 20CV, donc le système produisait plus de 17 fois l’énergie qu’il ne lui fallait pour fonctionner ! A partir du toit d’un pavillon de jacuzzi, ce dispositif fournissait de la puissance pour tout le quartier en utilisant exactement la même technologie de votre réfrigérateur.
Il y a aujourd’hui un système industriel de pompe à chaleur installé juste au nord de Kona, Hawaï, qui fabrique de l’électricité à partir des différences de températures des eaux de l’océan.
Il y a des dizaines d’autres systèmes dont je n’ai pas parlé, et nombre d’entre eux sont aussi viables et éprouvés que ceux que j’ai mentionnés. Mais cette courte liste suffit à illustrer mon propos : la Technologie de l’Energie Libre (T.E.L.) est disponible, maintenant. Elle propose au monde de l’énergie non polluante, en abondance, pour tout le monde, partout.

Il est possible aujourd’hui de cesser la production de gaz à effet de serre et de fermer toutes les centrales nucléaires. Nous sommes en mesure de dessaler des quantités illimitées d’eau de mer à un prix abordable et d’acheminer de la bonne eau potable jusque dans les régions les plus reculées. Les prix du transport et de la production d’à peu près n’importe quoi pourraient dégringoler de façon spectaculaire. des légumes pourraient pousser dans des serres chauffées, en hiver, n’importe où.
Et tous ces atouts merveilleux, qui pourraient rendre la vie sur cette planète tellement meilleure et plus facile pour tout le monde, ont été mis à l’écart pendant des décennies. Pourquoi ? Qui tire profit de cet ajournement ?

Les ennemis invisibles des Technologies de l’Energie Libre
Quatre forces gigantesques se sont liguées pour créer cette situation. Affirmer qu’il y a, et qu’il y aurait eu, une « conspiration » visant à supprimer ces technologies ne nous mènerait qu’à une vision superficielle du monde et nous déchargerait de toute responsabilité dans l’affaire. Or, notre complaisance dans l’ignorance et l’inaction, face à cette situation, a toujours été interprétée par deux de ces forces comme un consentement tacite.
Alors, à part le « public démotivé », quelles sont les autres forces qui bloquent l’accès au T.E.L. ?

1. Le monopole de l’argent.
Dans la théorie économique standard, il y a trois classes d’industries : le capital, les biens et les services. Dans la première, le capital, il y a trois sous-classes : le capital naturel, la monnaie et le crédit. Le capital naturel réside dans les matières premières (telles qu’une mine d’or) et les sources d’énergie (telles que les puits de pétrole et les barrages hydroélectriques). La monnaie c’est l’argent papier et les pièces que « frappent » habituellement les états. Le crédit se rapporte au prêt de l’argent pour un intérêt et son extension, le compte sur livret en nantissement. Il est dès lors facile de voir que l’énergie fonctionne, dans l’économie, de la même façon que l’or, l’émission de monnaie par un gouvernement ou l’octroi d’un crédit par une banque.
Aux USA, comme dans la plupart des pays du monde, règne un monopole de l’argent. Je suis « libre » de gagner autant « d’argent » que je veux, mais je ne serai payé qu’en billets de la Réserve Fédérale. Je ne puis obtenir d’être payé en garanties sur de l’or ou toute autre forme « d’argent ». Ce monopole de l’argent est exclusivement entre les mains d’un petit nombre de banques de titres, et ces banques sont les propriétés de quelques familles les plus riches du monde. (Banques Centrales et contrôle Privé de l’Argent). Leur objectif est de parvenir à contrôler 100% de toutes les ressources en capital du monde et ainsi de contrôler la vie de chacun par la disponibilité (ou non disponibilité) de tous les biens et services. Si une source de richesse indépendante (comme un système à énergie libre) était à la portée de chaque individu sur Terre, cela compromettrait pour toujours leur projet de domination mondiale. Il est aisé de comprendre pourquoi.

Actuellement, l’économie d’une nation peut être ralentie ou accélérée par la hausse ou la baisse des taux d’intérêts. Mais si une source indépendante de capital (de l’énergie) s’introduisait dans l’économie, et si n’importe quelle entreprise ou personne pouvait accroître son capital sans devoir emprunter à une banque, cette régulation centralisée n’aurait pas le même effet. La technologie de l’énergie libre modifie la valeur de l’argent. Les familles les plus riches et les pourvoyeurs de crédit ne tolèrent aucune concurrence ; c’est aussi simple que ça. Ils veulent sauvegarder leur monopole du contrôle de l’accès à l’argent. De leur point de vue, l’énergie libre n’est pas seulement quelque chose qu’il faut écarter, cela doit être définitivement interdit !
Ce sont donc ces familles et les banques centrales qui constituent la première force cherchant à empêcher que le public ait accès aux T.E.L. Leurs motivations sont un prétendu « droit divin de régner », la cupidité et un besoin insatiable de tout contrôler, sauf eux-mêmes. Les armes qu’ils utilisent pour imposer cet embargo comprennent l’intimidation, le discrédit par des « experts », l’achat des brevets et la mise au secret des technologies, l’assassinat et la tentative d’assassinat des inventeurs, de procès contre ceux-ci, la calomnie et la destruction de réputation, l’incendie criminel et un large éventail de motivation ou démotivations financières pour manipuler les partenaires éventuels. Ils ont aussi orchestré l’acceptation généralisée d’une théorie scientifique selon laquelle l’énergie libre n’existe pas (les lois de la thermodynamique).

2. Les gouvernements nationaux.
Ceux-ci constituent la deuxième force agissant pour ajourner l’avènement des T.E.L. Le problème ici n’est pas tant une question de concurrence dans l’émission d’une monnaie que de maintien de la « sécurité nationale ». Le fait est que le monde est une jungle et que vous pouvez comptez sur les humains pour être très cruels, malhonnêtes et sournois. Il appartient au gouvernement « d’assurer la défense commune ». A cette fin, les « forces policières » reçoivent délégation du pouvoir exécutif du gouvernement pour imposer le « règne de la loi ». La plupart d’entre nous consentons à ce que règne la loi parce que nous pensons que c’est ce qu’il faut faire dans notre propre intérêt. Il y a toujours cependant quelques individus qui pensent que leur propre intérêt serait mieux servi par un comportement qui ne se conformerait pas volontairement à ce qui est généralement admis comme l’ordre social. Ces gens choisissent de fonctionner en dehors du « règne de la loi » et sont considérés comme des hors-la-loi, des criminels, des subversifs, des traîtres, des révolutionnaires, des rebelles ou des terroristes.

La plupart des gouvernements nationaux ont découvert par tâtonnements que la seule politique étrangère qui fonctionne vraiment à la longue est fondée sur « un prêté pour un rendu ». Pour vous et moi, cela signifie que les gouvernements traitent les autres comme les autres les traitent. Il y a une manoeuvre permanente pour obtenir une position et une influence dans les affaires mondiales et c’est le plus fort qui gagne. En économie, cela s’appelle la « Règle d’Or », ce qui signifie que celui qui possède l’or fait la loi. Il en est ainsi aussi en politique, sauf que cela prend une tournure plus darwinienne : c’est simplement la survie du plus adapté.
En politique, cependant, le « plus adapté » signifie celui qui est capable de mener les luttes les plus abjectes. Tous les moyens, sans exception, sont utilisés pour gagner un avantage sur « l’adversaire », et tous les autres sont des « adversaires », peu importe qu’ils soient considérés comme amis ou ennemis. Cela implique le faux-semblant psychologique éhonté, le mensonge, la tricherie, la manipulation, l’espionnage, le vol, l’assassinat de dirigeants, les guerres par procuration, les alliances et les changements d’alliances, les traités, l’aide à l’étranger et la présence de forces armées partout où c’est possible.
Que cela plaise ou non, ceci est l’arène psychologique dans laquelle manoeuvrent les gouvernements nationaux. Aucun gouvernement ne fera quoi que ce soit qui puisse accorder un avantage quelconque à un adversaire sans contrepartie ; jamais ! Ce serait un suicide national. Toute action du chef d’un individu, dans son pays ou à l’extérieur, pouvant être interprétée comme accordant un avantage quelconque à un adversaire sera jugée comme une menace à la « sécurité nationale » ; toujours !

La T.E.L. est le cauchemar d’un gouvernement national. Si elle était ouvertement reconnue, cette technologie déclencherait une course à l’armement sans limites par tous les gouvernements, dans une tentative finale d’acquérir l’avantage et la domination absolue. Songez y un peu. Pensez-vous que le Japon ne se sentirait pas en état d’infériorité si la Chine disposait de l’énergie libre ? Pensez-vous qu’Israël resterait les bras croisés en observant l’Irak acquérir l’énergie libre ? Pensez-vous que l’Inde tolérait que le Pakistan développe l’énergie libre ? Etc, etc…
Dans l’état actuel de la situation planétaire, la disponibilité d’une énergie illimitée conduirait à un réajustement inévitable de l’équilibre des forces. Ceci pourrait devenir une guerre totale pour empêcher « l’autre » d’accéder à l’avantage d’une richesse et d’une puissance illimitées. Tout le monde en voudrait, et voudrait en même temps empêcher tous les autres de l’obtenir.
Donc, les gouvernements nationaux constituent la deuxième force qui agit pour retarder l’accès généralisé aux T.E.L. Leurs motivations est « l’autodéfense ». Celle-ci agit à trois niveaux : 1. ne pas accorder un avantage à un adversaire extérieur ; 2. prévenir des actions individuelles (anarchiques)
susceptibles de défier le contrôle policier à l’intérieur du pays ; 3. protéger les sources de revenus dérivées de la taxation sur les énergies courantes.

Leurs armes comprennent le blocage de l’octroi de brevets, sous prétexte de sécurité nationale, et les actions légales et illégales consistant en la poursuite des inventeurs sur l’allégation d’infractions pénales, les contrôles fiscaux, les menaces, les écoutes téléphoniques, les arrestations, les incendies criminels, le vol de propriété en cours d’acheminement, et une foule d’autres intimidations qui font que l’entreprise de construction et de commercialisation de machines à énergie libre devient pratiquement impossible.

3. Fantasmes et malhonnêteté au sein du mouvement pour les énergies libres.
La troisième force qui contribue à retarder la diffusion des T.E.L. se trouve au sein d’une catégorie d’inventeurs fabulateurs, de charlatans et d’escrocs. En marge des percées scientifiques extraordinaires que sont les véritables T.E.L. plane l’ombre d’un monde d’anomalies inexpliquées, d’inventions marginales et de promoteurs sans scrupules. Les deux première force ont constamment utilisé les médias pour mettre en relief les pires exemples de cette catégorie, de manière à distraire l’attention du public et à discréditer les véritables réalisations en les associant aux fraudes évidentes.
De plus, quelques inventeurs, dont les technologies marginales mettent en relief des anomalies intéressantes ont à tort exagéré l’importance de leurs découvertes. Certains de ces inventeurs ont abusivement gonflé leur propre importance en tant qu’inventeur, apparaît alors une combinaison de « ruée vers l’or » et de « complexe du Messie », propre à dénaturer toute contribution potentielle. Alors même que le fil de leur recherche pourrait être prometteur, ils commencent à remplacer les faits par de l’enthousiasme, ce qui, dès cet instant, compromet la valeur de leur travail scientifique.
Une séduction subtile et puissante peut gauchir une personnalité sitôt qu’elle s’imagine que « le monde repose sur ses épaules » ou qu’elle en est le sauveur.
Il arrive aussi des choses étranges à des gens qui pensent qu’ils vont devenir très riches. En présence d’une machine à énergie libre qui fonctionne, il faut une grande rigueur spirituelle pour rester humble et objectif.

Enfin, il y a les escrocs purs et simples. Depuis 15 ans, il y a aux USA une personne qui a érigé l’escroquerie à l’énergie libre au rang d’un art professionnel. Il s’est mis dans la poche plus de 100 millions de dollars US, il a été interdit d’affaires dans l’état de Washington, il a fait de la prison en Californie et il recommence. En détruisant la confiance du public dans cette technologie, cet homme à lui seul a probablement fait plus de tort à la cause de l’énergie libre aux USA que n’importe quelle autre force.
Ainsi donc, la troisième force qui oeuvre pour empêcher le développement des systèmes à énergies libres est engendrée par les fantasmes et les malhonnêtetés au sein même du mouvement. Les motivations sont l’auto-promotion, l’appât du gain, le besoin de pouvoir sur les autres et un sens hypertrophié de valeur personnelle. Les armes en sont le mensonge, la tromperie, le piège à pigeons, la mythomanie et l’arrogance, le tout soutenu par une science bidon.

4. Le public démotivé.
La quatrième force qui joue contre le développement des T.E.L. est composée… du reste d’entre nous. Il est facile de voir la méprisable étroitesse des motivations des autres forces, mais en fait, ces motivations agissent en chacun de nous.
A l’instar des familles les plus riches, ne cultivons-nous pas secrètement des illusions de fausse supériorité et l’envie de contrôler les autres plutôt que nous-mêmes ? Et ne serions-nous pas capables de trahir si le prix était assez élevé, disons 1 millions d’euros en liquide tout de suite ?
Ou, comme les gouvernements, n’avons-nous pas le souci de notre propre survie ? Captifs au milieu de la foule dans un cinéma en feu, ne céderions-nous pas à la panique poussant pour atteindre la sortie, toutes les personnes plus faibles hors de notre chemin ? Ou encore, comme l’inventeur plein de fantasmes, n’échangeons-nous pas de temps à autre une réalité inconfortable contre une illusion réconfortante ? Et n’avons-nous pas de nous-mêmes une opinion meilleure que celle que nous portent les autres ? Enfin, n’avons-nous pas peur de l’inconnu, même s’il contient de grandes promesses ?

Voyez-vous, les quatre forces ne sont que les aspects différents du même processus, fonctionnant
à différents niveaux de la société. Il n’existe en réalité qu’une seule force qui empêche l’avènement
généralisé des T.E.L. : c’est le comportement dénué de toute motivation spirituelle de l’animal humain. En dernière analyse, la T.E.L. est une manifestation concrète de l’Abondance Divine. C’est le moteur de l’économie d’une société éclairée, dans laquelle les individus se comportent volontairement avec respect et civilité les uns envers les autres ; où chaque membre de la société dispose de tout ce dont il a besoin et ne convoite pas ce que possède le voisin ; où la guerre et la violence sont socialement inacceptables ; et où les différences sont au moins respectées, voire, appréciées.
L’apparition des T.E.L. dans le domaine public est l’aube d’une ère véritablement civilisée. Cela marque une étape dans l’histoire de l’humanité. Personne ne peut en revendiquer le mérite ; personne ne peut s’en enrichir ; personne ne peut s’en servir pour gouverner le monde ; c’est simplement un don de la VIE. Cela nous oblige tous à assumer la responsabilité de nos actes et, lorsqu’il le faut, à nous imposer nos propres règles. Tel qu’il fonctionne actuellement, le monde ne peut recevoir les T.E.L. sans passer par une mutation complète vers quelque chose de différent. La « civilisation » présente a atteint le sommet de son développement parce qu’elle a semé
les germes de sa propre transformation. L’énergie libre ne peut être confiée à l’animal humain sans spiritualité. Il n’en fera que ce qu’il a toujours fait : chercher impitoyablement à prendre le dessus sur son prochain, s’entre-tuer et se tuer lui-même dans la foulée.

Relisez donc le livre « Atlas Shrugged » (1957) de Ayn Rand ou le rapport du Club de Rome « Les Limites de la Croissance » (1972), vous verrez que les familles les plus riches ont compris cela depuis longtemps. Leur projet est de vivre dans un « monde d’énergie libre », tout en nous maintenant tous à l’extérieur. Cela n’est pas nouveau. La royauté, le pouvoir en place a toujours considéré la population (vous et moi) comme leurs sujets. Ce qui est nouveau, c’est que vous et moi pouvons aujourd’hui communiquer mieux que jamais ce ne fut possible dans le passé. L’Internet nous offre à nous, la quatrième force, l’occasion de surmonter les trois autres forces qui entravent le développement des T.E.L.

L’occasion offerte d’une société juste.
Ce qui commence à se produire, c’est que les inventeurs publient leurs travaux, au lieu de les garder secrets et de les breveter. De plus en plus de gens « donnent » l’information sur ces technologies, par des livres, des vidéos et des sites web. Il y a encore, sur Internet, beaucoup d’informations inutiles sur les énergies libres, mais la quantité d’information valable augmente rapidement.
Il est capital que vous commenciez à rassembler tout ce que vous trouvez comme information sur les vrais systèmes à énergie libre. La raison en est simple. Les deux premières forces ne permettront jamais qu’un inventeur ou une compagnie construisent et vous vendent une machine à énergie libre ! La seule chance que vous ayez d’en acquérir une est de la fabriquer vous-même (ou de demander à une personne qui s’y connait de vous la construire). C’est exactement ce que des milliers de bons bricoleurs sont tranquillement en train de faire. Pendant que vous lisez ceci, des petits groupes privés de recherche travaillent sur les T.E.L., beaucoup d’entre eux ont publiés leurs résultats sur Internet. (Voir sur ce site : l’article : La préservation d’intérêts particuliers au détriment de la vie sur Terre, réalité ou fiction ?)

Ensemble, nous formons la quatrième force. Si nous réagissons et refusons de demeurer ignorants et passifs, nous pouvons changer le cours de l’histoire. C’est le rassemblement de nos efforts combinés qui fera la différence. Seule l’action massive qui représente notre consensus peut engendrer le monde que nous souhaitons. Nous ne devons pas compter sur les trois autres forces pour installer un générateur sans combustible dans notre sous-sol. Elles ne nous aideront pas à nous libérer de leurs manipulations.

Quoi qu’il en soit, la T.E.L. est là, elle est réelle et elle va modifier complètement notre façon de vivre, de travailler ainsi que nos comportements relationnels. En dernière analyse, la T.E.L. implique le dépassement de la cupidité et de l’angoisse de survie. Mais comme dans toutes les pratiques de foi spirituelle, nous devons d’abord affirmer notre générosité et notre confiance en notre propre vie.
La source d’énergie libre est en nous. C’est l’exaltation de nous exprimer librement. C’est notre intuition spirituellement inspirée se manifestant sans distraction, intimidation ni manipulation. C’est notre ouverture du coeur. Idéalement, les T.E.L. sous-tendent une société juste où chacun dispose d’assez de nourriture, de vêtements, d’habitations, où chacun trouve sa place et le loisir de contempler le sens supérieur spirituel de la vie. N’avons-nous pas l’un envers l’autre le devoir de dépasser nos peurs et d’agir pour créer l’avenir des enfants de nos enfants ? Peut-être ne suis-je pas le seul à attendre de pouvoir oeuvrer à l’avènement d’une Vérité plus grande.

La T.E.L. est présente et l’a été depuis des décennies ; et le voile du secret qui masquait ce fait remarquable vient d’être déchiré par les technologies de communications et Internet. Partout sur la Terre, des gens commencent à construire des machines à énergie libre pour leur propre usage. Les banquiers et les gouvernements ne veulent pas cela, mais ils ne peuvent l’empêcher. Des troubles économiques énormes et des guerres seront utilisées dans un proche avenir pour distraire les gens de la quête vers les énergies libres. Les médias ne couvriront pas cet aspect de ce qui se passe. On ne parlera que des guerres et de guerres civiles éclatant partout et conduisant les « pacificateurs » des Nations-Unies à des occupations dans un nombre croissant de pays. La société occidentale est en chute libre vers l’autodestruction à cause des effets cumulés, à long terme, de la cupidité et de la corruption. La disponibilité généralisée des T.E.L. ne peut empêcher ce mouvement ; elle ne peut que le renforcer. Cependant, si vous disposez d’une installation à énergie libre, vous serez sans doute mieux placés pour survivre à la transition politico-socio-économique qui est en marche. Aucun gouvernement ne survivra à ce processus. La question demeure : qui contrôlera finalement le gouvernement mondial qui émergera du conflit, la première force, ou la quatrième ? La dernière grande guerre est imminente, les germes ont été semés. Après celle-ci commencera une véritable civilisation. Certains d’entre nous qui auront refusé de se battre verront l’aube d’un monde de l’énergie libre. Je vous invite à être parmi ceux qui essayeront.

A propos de l’auteur.

Peter Lindemann, Docteur en Sciences, s’est intéressé aux énergies libres dès 1973, lorsqu’il prit connaissance des travaux d’Edwin Gray. Dès 1981, il avait mis au point son propre système à énergie libre fondé sur les générateurs à réluctance variable et les moteurs pulsés. Pendant les années 1980, il travailla par intermittence avec Bruce De Palma et Eric Dollard. En 1988, il fit partie du conseil d’administration de la Borderland Sciences Research Foundation et y resta jusqu’en 1999. Pendant cette période, il écrivit plus de 20 articles pour le Journal of Borderland Research.
Le Dr. Lindemann fait autorité dans le domaine des applications pratiques des technologies de l’éther et de l’électricité froide. Il est aujourd’hui associé de recherche auprès du Dr. Robert Adams
en Nouvelle Zélande, ainsi que proche collaborateur de Trevor James Constable aux USA. Il est également directeur de recherches chez Clear Tech, Inc, aux USA.

Source : Magazine Nexus http://www.nexus.fr/

A voir aussi les excellents sites : Projet Avalon http://projectavalon.net/lang/fr/flag.html et Projet Camelot http://projectcamelot.org/lang/fr/flag.html

Et le site Magnéto-Synergie qui traite les énergies libres

https://www.magnetosynergie.com/index.htm

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